Pollution, les risques d’asthme augmentés

Pollution, les risques d’asthme augmentés

Pollution, les risques d’asthme augmentés

Une récente étude a confirmé que les crises d’asthme ou le risque de symptômes sont plausibles à cause d’une exposition continue à des niveaux élevés de pollution atmosphérique. L’étude se propose d’évaluer les effets à long terme de l’exposition aux particules fines provoquées par le trafic routier.

Quelques notions sur la pollution ?

L’on peut résumer que la pollution est la détérioration de l’écosystème due à l’introduction de substances ou de radiations putréfiant le fonctionnement de cet écosystème. L’humain est considéré comme le premier acteur de cette dégradation. La santé et la biosphère sont les premiers qui subissent les effets néfastes de la pollution. Il est important de traiter l’asthme pouvant être provoqué par la pollution. Ainsi des logiciels tels que Docteur Santé par exemple sont là pour accompagner les médecins dans leurs démarches auprès de leurs patients. 

Il n’est plus nouveau d’entendre le réchauffement climatique et l’exposition aux polluants qui sont les premiers responsables de la transformation du climat de la Terre. A noter que des maladies d’origines inconnues apparaissent dans plusieurs zones géographiques, sans qu’il y ait pour le moment des solutions pour atténuer la situation. L’OMS fait savoir qu’en 2012, plus de 7 millions de personnes sont mortes prématurément, surtout dans les zones asiatiques et du Pacifique. Le chiffre a augmenté jusqu’à 9 millions de personnes en 2015 à cause de la pollution qui n’est pas maitrisée.

Qui sont les plus exposés aux risques d’asthmes dus à la pollution

Aussi bien les pays développés que les pays en voie de développement  ne sont pas à l’abri des effets meurtriers de la pollution. La pollution de l’air aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur des locaux provoque la gêne respiratoire, les maux de tête, les maux de gorge, etc. Les crises d’asthmes sont les plus manifestes chez les personnes asthmatiques, et par conséquent, les enfants se trouvent dans la réduction de la capacité respiratoire. En résumé, les enfants et les personnes âgées sont les plus exposées  aux risques d’asthme dus à la pollution atmosphérique à long terme. Cependant, il faut signaler que même à court terme, l’exposition à l’ozone, au dioxyde d’azote ou de soufre, à la TRAP  augmente le risque d’asthme pour n’importe qui.